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CPL en français


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On 8/23/2018 at 9:37 PM, ChrisinOrleans said:

Dac, mais c'est sûr qur la ville de Québec est plus accepté comme marché du sport que Laval. Si il y a un autre équipe au Québec, ça va être à TR ou Sherbrooke. 

Je suis d'Accord avec toi. Québec, TR ou Sherby sont des villes relativement grandes, avec une université, donc un stade et une relative présence de minorité culturelle

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On 8/24/2018 at 1:18 AM, Blackdude said:

Le problème de Laval est que c'est difficile d'avoir une présence médiatique.

Comme chaque banlieue. D'ailleurs il est assez difficile d'avoir une identité dans une banlieue. Et c'Est sût que les gens de Montréal n'iront jamais aux matchs. Mais la saison prochaine, il y aura un derby lavalois en PLSQ

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Les prochaines semaines seront fort intéressantes à suivre dans la Première ligue de soccer du Québec (PLSQ) puisque la course au championnat est très serrée entre l’AS Blainville et le CS Mont-Royal Outremont, et que la Coupe PLSQ sera ensuite disputée en octobre. Mais la saison morte sera tout aussi captivante à suivre par la suite puisque l’entrée en scène de la Première ligue canadienne, en vue de la saison 2019, viendra changer la donne côté recrutement.

La création de la PLC est un scénario positif pour le circuit provincial québécois, estime le commissaire de la PLSQ Kambiz Ebadi. Après tout, c’est dans le but d’alimenter les circuits supérieurs en joueurs que la ligue professionnelle de division 3, ainsi que sa cousine ontarienne, la League 1, ont été mises sur pied à l’origine.

« Quand on a créé la PLSQ en 2012, l’objectif était de combler l’écart qui aurait alors été très grand entre la Ligue élite (LSEQ) et la MLS avec l’Impact. Il fallait donc d’autres niveaux et on a lancé la PLSQ au niveau provincial pour aider à pallier à ça, en sachant qu’on travaillait aussi pour avoir éventuellement une ligue canadienne », a indiqué Ebadi.

« Le développement des joueurs a toujours été notre but et s’il y a des joueurs qui sont sélectionnés par des équipes qui évoluent à un niveau plus élevé – c’est le cas de la PLC puisqu’il s’agit d’une division nationale canadienne –, pour nous c’est gagnant-gagnant. »

La PLC compte rapatrier un certain nombre de joueurs canadiens qui évoluent en Europe, mais risque aussi d’attirer les jeunes joueurs issus des académies de l’Impact, du Toronto FC et des Whitecaps de Vancouver qui ne réussissent pas à accéder à la MLS. Il devrait aussi y avoir de la place pour des joueurs qui se sont développés sur le tard grâce à la PLSQ et la League 1, selon Ebadi.

« Il y a sept équipes et une huitième qui est censée être annoncée assez rapidement, alors on va devoir aller chercher 200 joueurs en vue de la première saison », a souligné le commissaire de la PLSQ en parlant de la ligue qui a promis que plus de la moitié de ses joueurs seraient canadiens. « On va avoir besoin de tous les types de joueurs, y compris des joueurs qui ont l’expérience (professionnelle) de la PLSQ et de la League 1.

« Ils espèrent attirer de 5000 à 10 000 spectateurs par match, donc il va falloir que le produit soit bon sur le terrain. Ils ne pourront donc pas avoir seulement des joueurs de 17, 18 ou 19 ans (prometteurs mais sans expérience). »

Pour l’instant, la saison 2019 de la PLC semble destinée à se mettre en branle en l’absence d’une équipe du Québec, mais les dirigeants de la ligue parlent ouvertement de la possibilité d’avoir une équipe à Québec, et aussi à Laval/Montréal.

Selon Ebadi, qui est également directeur des compétitions à la FSQ, le Québec a un bassin de joueurs suffisant pour accueillir sans problème « une ou deux équipes, c’est sûr et certain ».

« C’est plus une question d’investisseurs que sportive, a noté Ebadi. Pour gérer une équipe comme celles de la PLC, il faut un budget d’opérations de plus de 5 millions $ par année. Les propriétaires des sept clubs déjà annoncés sont au courant de la situation, ils savent qu’il va y avoir des investissements à faire au début. Un jour, leur club et la ligue seront peut-être rentables ; mais il faut quand même être réaliste et réaliser qu’il ne faut pas s’attendre à (faire des profits) d’ici les cinq prochaines années.

« Est-ce que nos clubs amateurs qui ont présentement une équipe professionnelle (en PLSQ) pourront faire ça un jour ? C’est là le plus grand défi. »

Même si la PLC n’aura pas d’équipe au Québec en 2019, la PLSQ risque de perdre plusieurs joueurs dans l’immédiat puisque les salaires dans le nouveau circuit canadien seront proches, semble-t-il, du salaire minimum dans la MLS (54 500 $ cette année). Les joueurs qui veulent donc gagner leur vie avec le foot pourront le faire dans différentes villes du pays. Mais selon Ebadi, les clubs de la ligue québécoise ont maintenant assez de profondeur pour absorber le coup, puisque bon nombre d’équipes ont non seulement des titulaires de qualité, mais aussi des réservistes qui ont le niveau pour être titulaires.

Le niveau de jeu de la PLSQ risque par ailleurs de monter à moyen et long terme puisque les joueurs qui aspireront à jouer dans la PLC auront intérêt à passer par le circuit provincial québécois pour se faire remarquer.

Les (peut-être) futurs joueurs de la PLC seront en action ce week-end, quand le Dynamo de Québec recevra le CS Saint-Hubert à la Polyvalente L’Ancienne-Lorette ce samedi à 16h, et le CS Longueuil accueillera le CS Fabrose au Parc Laurier le même jour à 18h. Dimanche, le FC Gatineau rendra visite à l’AS Blainville au Parc Blainville à 18h, tandis que le FC Lanaudière se rendra au TMR 3 à Mont-Royal pour y affronter les Griffons à 18h30.

Source: http://plsq.ca/actualites/la-plsq-bientot-a-lere-de-la-premiere-ligue-canadienne

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Bonjour,

Voici l'entrevue que j'ai faite avec Aboubacar Sissoko, recruté par Forge FC:
https://medium.com/@actualitesoccer/entrevue-avec-aboubacar-sissoko-25-11-2018-53a314d76869

Tout d’abord, félicitations à nouveau pour avoir été repêché par le Forge FC (Hamilton).

Peux-tu te présenter et nous expliquer ton parcours sportif?

Aboubacar Sissoko:

Je suis né à Bamako au Mali le 9 octobre 1995. En 2006, je suis venu habité à Montréal car mon père était diplomate. J’ai commencé à jouer au foot avec mes amis et mes deux frères aussi jouaient . J’ai intégré en 2004 un centre de formation au Mali et en 2006 on a pris l’envol ici. Arrivé ici, c’était compliqué car je ne connaissais personne. Ensuite Somdo Keke a rencontre mon frère et moi et il nous a amené jouer avec le Club de soccer Mont-Royal Outremont (CSMRO). J’évoluais aussi avec l’équipe de futsal de mon école secondaire, le collège internationale Marie de France. Lors d’un match contre une autre école dans le but du futsal , j’ai rencontre Rémi, qui lui a parlé à une personne, François Bourgeais, qui m’a beaucoup aidé dans ma progression et j’ai donc rejoint le club de soccer de Longueuil où j’ai eu beaucoup de succès et acquis beaucoup d’expérience. J’ai aussi été faire un stage à Lorient en France mais me faire signer leur aurait causé beaucoup de dépense qu’ils ne pouvaient pas se permettre de faire. 
 Ensuite j’ai été avec mon équipe nationale U-20 et c’était une belle expérience pour moi. Ensuite mon arrivée chez les Carabins a couronné le tout pour que je sois le joueur que je suis aujourd’hui.

Félicitations pour la finale U-Sport, comment s’est passé le week-end de la finale?

Aboubacar Sissoko:

Le week-end de la finale a été tranquille, on avait un jour de congé avant la finale donc on a tous fait ce qu’il fallait faire afin d’être prêt à jouer ce grand match. Il y a des joueurs qui ont été faire le tour de la ville, d’autres ont été mangé des sushis, car Vancouver est réputée d’avoir de bons restaurants sushis, d’autres sont restés aux soins avec les physiothérapeutes. En gros, on a fait ce qu’il fallait pour ne pas trop penser au stress de ce match. On a juste profité de la ville et le jour du match, on était venu pour gagner car l’année passée on avait perdu contre cette même équipe.

La Canadian Premier League (CPL) va commencer sa saison inaugurale en avril 2019, que sais-tu sur cette ligue et qu’est-ce que tu en penses?

Aboubacar Sissoko:

La ligue va bientôt commencer, on verra ce que ça va donner. Je ne connais pas bien la ligue mais je sais que c’est une bonne opportunité pour les jeunes talents qui sont ici. Notamment à Montréal, il y a de très grands joueurs qui n’ont pas la chance d’évoluer avec l’Impact de Montréal, donc la CPL serait bien pour ces joueurs-là.

Comment as-tu appris que tu avais été repêché par le Forge FC et quelle a été ta première réaction?

Aboubacar Sissoko:

Quand j’ai appris que le Forge FC m’a sélectionné j’étais ému car avant d’arriver ici j’ai beaucoup travaillé, j’ai aussi été critiqué par certaines personnes et je n’ai jamais baissé les bras. Alors je vais tout faire pour satisfaire au maximum le FC Forge, leur rendre la pareille pour la confiance qu’ils ont eu en moi, de me choisir parmi les autres très grands joueurs qui étaient aussi sur la liste de draft.

Quelles sont tes ambitions sportives pour 2019?

Aboubacar Sissoko:

Mes ambitions sportives sont :

· je dois d’abord partir avec le Forge FC et essayer de décrocher un contrat.

· Par la suite, avec l’équipe, réaliser de belles choses durant cette première saison de la CPL.

· Travailler quotidiennement afin de progresser de jour en jour.

· Faire honneur à l’Université de Montréal, car dans l’effectif nombreux sont ceux qui méritent aussi d’être à ma place.

Alexander Bunbury, une ancienne gloire canadienne, a annoncé qu’il travaille sur la création d’une équipe à Laval, en banlieue de Montréal, pour 2020, qu’en penses-tu? Aimerais-tu avoir la chance de jouer dans la région de Montréal un jour?

Aboubacar Sissoko:

La création d’une nouvelle équipe à Montréal serait une bonne chose , en ce qui me concerne , ça fait vraiment longtemps que j’habite à Montréal et c’est devenu ma ville. Par contre, évoluer ici je n’y penses pas trop , je dois d’abord m’imposer avec Forge FC et dans le foot on ne sait jamais de ce qui peut arriver.

Edited by mtlsab
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